Un mal de crâne, c'est comme une autruche...
...ça court vite, et ça ponds des gros oeufs (les amateurs y verront là une référence à l'une des rares séries actuelles dont l'humour ravageur arrive à faire sourire votre serviteur).
Si l'on passe outre ce titre, qui n'a bien entendu rien à voir avec ce qui va suivre, on se rends tout de même bien compte que cet article part de nulle part pour arriver au même point, par ailleurs fort confortable. Alors pourquoi le quitter ?
Question qui trouvera peut-être sa réponse au moment où les plus acharnés tenteront désespérement de comprendre le jeu de mot planqué dans le titre, et qui, pour une fois, n'existe pas. Je sais, d'humeur taquine aujourd'hui.
En tout cas j'espère, qu'à défaut d'autre chose, cet article aura pu vous faire comprendre pourquoi par dizaines mes neurones cognent contre les parois de mon crâne dans le vain espoir d'en sortir, ou le bien moins vain espoir de me coller une migraine carabinée.