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Comme elle vient...

21 août 2006

Suivez le guide...

Un passage rapide sur ces lieux abandonnés, afin que vous puissiez voir que je commet encore quelques forfaits. Pour quiconque aurait assez de temps à y consacrer, un site est désormais consacré à mes écrits... On sait jamais, ça intéressera peut être quelqu'un. Ou pas.

Bonne visite, le cas échéant.

http://www.o-desespoir.com/

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14 juin 2006

Le faux de la main

Puisqu'à force de condenser la pensée à sa forme écrite la plus primaire il était inévitable que la répétitivité des choses n'entraîne une lassitude prévisible, je me dois de vous annoncer dés lors la toute fin de ce qui fut un blog atypique dont l'intérêt égalait sans mal le nombre de raviolis présents dans un bac à linge.

Après des hauts et des bas, mon flux de pensées métaphysiques, à défaut de s'être tari, à trouvé d'autres aspirations. Il est peut-être temps d'abandonner la facilité, et de travailler un peu plus ces écrits plutôt que de laisser croire que tout ça pourrait être plus qu'une vaste farce, tirée de la comédie humaine. J'en prends pour preuve la précédente phrase, qui au fond ne signifie pas grand chose.


Je tiens principalement à remercier deux personnes pour tout ça...

Tout d'abord, les invités priment, et je suis fort reconnaissant à Zeloune d'avoir trouvé le temps de se perdre ici et d'y lire ce qui lui tombait sous les yeux. Merci à toi, qui que tu sois. A bientôt dans d'autres Ailleurs, comme on dit. Ou pas.

Et enfin, je ne saurais m'empêcher de remercier celle qui à été le moteur de ce blog... une miss qui se reconnaîtra peut-être en moins de 3 semaines cette fois, à qui étaient destinés plus ou moins directement une bonne partie de tout ce contenu. Même si désormais la saison ou le temps fait qu'on se perde de "vue", rien n'effacera tout ça ni dans le présent ni dans l'avenir.

Je concluerais sur une phrase d'un Artiste bien souvent cité en ces lieux car "ici le soleil brille pour tous, et on y croit".
Voilà, on n'a désormais plus rien à se dire, cher illusoire lecteur. Adieu.

2 mai 2006

Un cran au dessus

Variation autour d'un même thème, ou encore même thème justifié par une variation, à vous de voir.

Difficile de garder la tête froide quand le regard que l'on porte sur sa vie est celui d'un étranger, un regard froid, indifférent, tout juste teintée d'une vague et indescriptible nostalgie.

Une époque de merde, rien à regretter, si ce n'est qu'au moins la merde a une saveur. Il ne subsiste désormais que l'impression de nager en pleine mer, sans éprouver ni douleur ni fatigue, ou du moins rien de plus qu'une douleur provoquée par l'absence de tout le reste.

Pour m'isoler de ce dont je ne veux plus vivre, me serait-je confiné une bonne fois pour toute au sein d'une gigantesque et impénétrable carapace ?

Ca y ressemble, mais les rêves voient, et les rêves savent la pénétrer. Une raison de plus de ne pas vouloir se réveiller, ou de ne plus vouloir s'endormir. A moins que ce ne soit un peu des deux ?

Je reprendrais à mon compte une phrase de Brassens, la modifiant quelques peu:
"Le plus mort des deux, n'est point celui qu'on croit."

Le ton est moins léger, certes. Et encore...

A vous qui croyez que je vous noie de mon impudeur, sachez pourtant que je ne fais qu'effleurer le problème. Désolé tout de même.

Sur ce...

23 avril 2006

Désolé miss...

Toi qui te reconnaîtra (ou qui mettra deux jours à comprendre que c'est pour elle ^^), je tiens vraiment à m'excuser... j'ai une fois encore mangé de l'herbe. Avec des branches...

Désolé ^^

23 avril 2006

Crawl on me, sink into me, die for me...

Je me suis souvent demandé pourquoi accorder tant d'importance à une personne avec laquelle on n'a vraissemblablement plus grand chose en commun... ou du moins pas suffisamment pour aller à l'encontre de la distance et du temps qui passe.

A plusieurs reprises je cru que plus jamais entrevoir son nom ou sa photo, ou simplement un souvenir, ne me ferait mal. A plusieurs reprises j'ait eut tort... maintenant je sais pourquoi.

Elle représente la vie que j'avais, et que j'ai laissé derrière moi, tout ce que j'ai foiré depuis 5 longues années. Ou pas.

Drôle de constater qu'à l'époque on s'inquiétait surtout de mon avenir professionnel, et que c'est désormais la seule chose qui tienne à peu prêt la route. La belle affaire. Au moins à l'époque j'avais la chance de ne rien avoir à perdre.

Mais maintenant il est trop tard pour le reste, j'ai fait mon temps.

Petite note au passage, je trouve assez amusant le fait d'être précoce au point de cesser de vivre bien avant de mourir. Oui, j'ai un sens de l'humour assez particulier à ce qu'on dit.

Sur ce, on s'appelle, on s'fait une bouffe.

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23 avril 2006

Délirium misanthropique

Ecrit rapidement lors d'un midi inspiré (ou pas...) je n'ai jusque lors jamais eut la motivation de relire ce poème un peu... spécial. Plutôt que de le laisser tomber dans les limbes de l'oubli, je vous le livre dans une version brute, totalement dénuée de travail après coup. Voyez ce que vous pourrez en tirer.

Issu du chaos des hommes, et de leur infidelité,
Misanthropique espérance d'une époque inerte.
Où la sainte croix, toute de sang couverte,
Serait enfouie sous terre, pour l'éternité.

Vaque à ton âme pêcheresse, moralisateur des bas-fonds.
Car d'une lueure poisseuse, tu luis et ne saurait ourdire.
Dans ton antre visqueuse, la perte de tes sbires,
Qui dans les abysses du mal se vautrent jusqu'aux tréfonds.

Délirium...

Entends-tu le pas lourd de l'Inhumain,
Qui de sa botte, empreinte de sagesse,
Foule la terre des indignes de l'Existence
Se complait dans la solitude et l'errance...
Méditation du sage et déchéance de l'impur.

Voit la Mort ! sur Son passage...
Etreignant, de sa faux, dans un sillon écarlate
L'âme des croyants, des incroyants, vies ingrates,
Dans une débauche de chair, orgie spectrale.

Misanthropique...

Charnier-purgatoire qui sera ton voyage,
Foule de ta botte le sang des indignes,
Et laisse ton empreinte bouillonnante dans le terreau de l'ignominie...

1 mars 2006

Ca faisait longtemps...

Ma collègue (et très largement amie) des suicides côtiers ne me contredira pas, un petit objet insignifiant peut parfois procurer une très grande satisfaction. Et si elle venait à me contredire, nul doute que je saurais la ramener à la raison à l'occasion. Non mais.

Mais qui aurait cru que d'une indifférence totale, une simple brosse à cheveux et quelques cris aient pu me replonger dans un délire de désirs toujours plus inassouvis au fur et à mesure qu'on tente de les combler de la seule manière qui soit: en les réalisant.

Il n'y a décidement rien de comparable à ces jeux-ci...

27 février 2006

Un mal de crâne, c'est comme une autruche...

...ça court vite, et ça ponds des gros oeufs (les amateurs y verront là une référence à l'une des rares séries actuelles dont l'humour ravageur arrive à faire sourire votre serviteur).

Si l'on passe outre ce titre, qui n'a bien entendu rien à voir avec ce qui va suivre, on se rends tout de même bien compte que cet article part de nulle part pour arriver au même point, par ailleurs fort confortable. Alors pourquoi le quitter ?

Question qui trouvera peut-être sa réponse au moment où les plus acharnés tenteront désespérement de comprendre le jeu de mot planqué dans le titre, et qui, pour une fois, n'existe pas. Je sais, d'humeur taquine aujourd'hui.

En tout cas j'espère, qu'à défaut d'autre chose, cet article aura pu vous faire comprendre pourquoi par dizaines mes neurones cognent contre les parois de mon crâne dans le vain espoir d'en sortir, ou le bien moins vain espoir de me coller une migraine carabinée.

26 février 2006

Ebullition sensorielle

Il est des moments où, ne sachant pas où donner de la tête, l'on devient le réceptacle d'influences sensorielles diverses, et où on se laisse transporter par le moindre courant créatif venu. Comment réussir à se centrer sur un domaine quand tous suffisent à se faire transporter en de lointains ailleurs, si bien qu'au final la réalité même se voile de la teinte terne propre au rêve ? Très Lovecraftien comme concept, mais par ailleurs tellement cher à ma perception des choses que je me permet de me l'approprier.

Difficile de se laisser porter par les joies du quotidien quand cet afflux vous envahit, qu'il vienne de folles idées créatrices ou encore de divines mélopées hurlantes et supplicatives. D'ailleurs certaines personnes pourraient croire que j'évoque un sujet cher à nous autres. Pourtant, même pas, je parle juste d'un autre bonheur pour les oreilles, moins intense sur le court terme mais tout aussi envoûtant.

Je vais donc tâcher de coucher toutes mes idées, et pour une fois de les concrétiser. Voyons si le reste suis l'imaginaire, mais gageons qu'il en sera ainsi.

Mes amitiés du dimanche.

24 février 2006

Univers singulier

Comme l'annonce cette annonce (n'est-ce pas délicieusement redondant ? non, en effet.) la section intitulée Univers Alternatifs ainsi que son contenu va disparaître de ce blog. Un peu comme la brique dans la terrine de minou, elle n'a pas vraiment sa place dans ce lieu où on préfère triturer mentalement la réalité que d'aller s'égarer ailleurs. L'autre raison, au passage, c'est que les rares écrits qui s'y trouvent me paraissent bien insuffisants pour les conserver ici.

Voilà tout.

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